n finir avec les politiques d’austérité menées au nom de la « baisse du coût du travail ». Au contraire, c’est le coût du capital (intérêts des emprunts, dividendes versés aux actionnaires) qui écrase les entre- prises, particulièrement les PME, et pousse les multinationales à des choix destructeurs. C’est le coût du capital qui fait ainsi obstacle aux investissements créateurs d’emplois et d’efficacité économique, et pousse à un degré intolérable l’exploitation des travailleurs et le gaspillage des ressources naturelles !
Conférences régionales pour l’emploi et la formation
Droit de veto suspensif des comités d’entreprises contre les licenciements
Pouvoirs de décision du CE sur les heures supplémentaires, le temps partiel, les contrats précaires, la sous-traitance, le plan de formation
Commissions régionales investies de pouvoirs de médiation pour imposer la prise en compte des propositions alternatives des salariés
Obligation pour les banques de financer ces projets alternatifs à très faible coût
Arrêter les aides publiques inutiles aux entreprises comme le CICE. Utiliser l’argent pour alimenter des fonds régionaux et un fonds national pour l’emploi et la formation
IL FAUT CONQUÉRIR DES POUVOIRS SUR LE CRÉDIT BANCAIRE, SUR L’ARGENT PUBLIC DONNÉ AUX ENTREPRISES, POUR FINANCER NON PAS DES ACTIONNAIRES SANS CONTREPARTIE MAIS DES PROGRAMMES DE CRÉATION D’EMPLOIS ET DE FORMATIONS QUALIFIANTES, DE RECHERCHE ET D’INNOVATION
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